Ma petite vie en Renaissance compulsive
Ou Marion Pète les Plombs épisode n°3
En Renaissance compulsive, tu te retrouves à faire des choses aussi étranges que
- parler de latin à tout le monde, tout le temps, sans arrêt. Le partiel s'est convenablement passé, merci beaucoup.
- pleurer pour un partiel de paléographie qui de toute façon était foiré d'avance depuis Janvier dernier, mais visiblement je m'étais toujours pas habituée à cette idée. Et maintenant j'ai très mal aux yeux à m'être acharnée pendant deux heures sur un texte en pattes de mouches... En soi en plus j'étudie la Renaissance, ère bénie de l'invention de l'imprimerie, donc en fait c'est même hors sujet cette matière de déchiffrage de pattes de mouche manuscrites. M'en vais l'expliquer aux pontes du CESR, centre de recherche unique en Europe rattaché au CNRS, même pas peur de me faire prendre pour une petite conne prétentieuse...
Pour soigner ma Renaissance compulsive, je suis (encore) allée dépenser des sous. (ça risque de commencer à me coûter cher cette série de partiels... Là en plus je rêve de belles sandales à talons de chez André, je vous le dit, c'est pas fini...) J'ai acheté des livres pour ressembler à une vraie fille normale et pas un rat des bibliothèques addictée au chocolat. J'ai donc acheté
- Et si j'arrêtais d'avoir peur de chez On est pas des gourdes
- La célib'attitude des paresseuses, de chez Les petits guides des paresseuses.
Alors pour ce que j'en ai lu, encore toute pleine de rage concentrée envers ma prof de paléo; je suis pas très coopérative pour ce qui est de la recherche du crapaud - prince charmant, et j'ai des soucis de confiance en moi, ce qui explique pas mal de mes trouilles incontrôlées, dont celle, quoique fondée, mais ma foi pas existentielle, de foirer mes partiels de latin et paléo; et celle, un peu plus existentielle, et pour l'instant pas très fondée, mais j'ai encore du temps devant moi, de complètement et irrémédiablement foirer ma vie.
Voilà pour la modique somme de 11 euros, je peux me commencer une thérapie. On va rajouter quelques cookies au chocolat, ça peut pas faire de mal (oui l'addiction au chocolat, on la soigne après).
Je vous fait part de la suite de mes lectures ultérieurement... Sinon je lis l'Ami de Galilée, roman qui parle de Renaissance, quand je vous dit Renaissance compulsive... je vous jure que c'est une vraie maladie.
En Renaissance compulsive, tu te retrouves à faire des choses aussi étranges que
- parler de latin à tout le monde, tout le temps, sans arrêt. Le partiel s'est convenablement passé, merci beaucoup.
- pleurer pour un partiel de paléographie qui de toute façon était foiré d'avance depuis Janvier dernier, mais visiblement je m'étais toujours pas habituée à cette idée. Et maintenant j'ai très mal aux yeux à m'être acharnée pendant deux heures sur un texte en pattes de mouches... En soi en plus j'étudie la Renaissance, ère bénie de l'invention de l'imprimerie, donc en fait c'est même hors sujet cette matière de déchiffrage de pattes de mouche manuscrites. M'en vais l'expliquer aux pontes du CESR, centre de recherche unique en Europe rattaché au CNRS, même pas peur de me faire prendre pour une petite conne prétentieuse...
Pour soigner ma Renaissance compulsive, je suis (encore) allée dépenser des sous. (ça risque de commencer à me coûter cher cette série de partiels... Là en plus je rêve de belles sandales à talons de chez André, je vous le dit, c'est pas fini...) J'ai acheté des livres pour ressembler à une vraie fille normale et pas un rat des bibliothèques addictée au chocolat. J'ai donc acheté
- Et si j'arrêtais d'avoir peur de chez On est pas des gourdes
- La célib'attitude des paresseuses, de chez Les petits guides des paresseuses.
Alors pour ce que j'en ai lu, encore toute pleine de rage concentrée envers ma prof de paléo; je suis pas très coopérative pour ce qui est de la recherche du crapaud - prince charmant, et j'ai des soucis de confiance en moi, ce qui explique pas mal de mes trouilles incontrôlées, dont celle, quoique fondée, mais ma foi pas existentielle, de foirer mes partiels de latin et paléo; et celle, un peu plus existentielle, et pour l'instant pas très fondée, mais j'ai encore du temps devant moi, de complètement et irrémédiablement foirer ma vie.
Voilà pour la modique somme de 11 euros, je peux me commencer une thérapie. On va rajouter quelques cookies au chocolat, ça peut pas faire de mal (oui l'addiction au chocolat, on la soigne après).
Je vous fait part de la suite de mes lectures ultérieurement... Sinon je lis l'Ami de Galilée, roman qui parle de Renaissance, quand je vous dit Renaissance compulsive... je vous jure que c'est une vraie maladie.
NB Pour ceux qui ont (rien) pas suivi, je suis en master au Centre d'Etudes Supérieures de la Renaissance